interview

INTERVIEW SPECIALE

Comment avez-vous découvert le monde du side-car cross ?

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Que pensez vous du side-car en France ?

W : Après la Hollande, c'est la France que je préfère ! Le public y est vraiment enthousiaste. Les teams français semblent vraiment passionnés et impliqués.

S : Concernant les teams français non seulement ils sont motivés et ont du bon matériel. J'ai aussi dès le début été surpris du nombre de teams qui se déplacent lors des courses en France ! On a vraiment l'impression que les équipages sont à fond dedans ! Ils adorent ça, ils sont très très motivés. En Hollande et dans les autres pays, les équipages se déplacent moins pour participer aux courses… Ils sont passionnés certes, mais pas de la même façon. On les retrouve souvent sur les mêmes terrains, et rarement loin de chez eux. Ils se contentent la plus part du temps de rouler à leur rythme, sans chercher à aller ailleurs pour progresser… Le Français eux se déplacent très souvent, malgré les kilomètres ils sont toujours au rendez-vous ! Je trouve ça épatant !
J'ai aussi remarqué que les passagers français ont presque tous les mêmes gants !

Oui, ce sont des gants que l'on trouve dans les jardineries en France, ils sont en tissus, mais disposent d'un quadrillage de caoutchouc pour améliorer l'accroche…

S : Oui j'ai eu l'occasion d'en observer une paire de près. C'est typiquement français, même si certains étrangers les ont aussi adoptés… Ces gants orange sont vraiment très surprenants !
De plus, je suis toujours aussi agréablement surpris de constater que le public est toujours très nombreux sur les terrains français! Non seulement il y vient plus de monde que dans les autres pays, mais en plus on n'y rencontre presque jamais les même gens. J'ai toujours l'impression que le public y est totalement différent, c'est vraiment étonnant !

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Et que pensez-vous des terrains français ?

W : Ils ne sont pas très larges, et ressemblent beaucoup plus à des terrains de super cross qu'ailleurs. Ils sont spectaculaires et je prends toujours énormément de plaisir à rouler dessus. Ce sont toujours très techniques qui sautent beaucoup, c'est sans doute le côté spectaculaire qui attire les nombreux spectateurs français qui arrivent toujours en masse.

S : La France dispose de très bons terrains, ils sont non seulement très beau mais également très dynamiques (beaucoup de sauts). Il est toujours très agréable de courir en France. Parmis mes préférés : Baugé et Brou.

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Daniel, Sergis t'inquiète t'il encore cette saison ?

W : Cette année non, il a déjà accumulé trop de points de retard. L'an prochain nous verrons bien… Je ne fais jamais de pronostiques, le meilleur doit gagner.

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INTERVIEW SPECIALE
			Daniel Willemsen & Kaspars Stupelis
Comment avez-vous découvert le monde du side-car cross ? W : J'ai découvert le side-car cross en 1985 grâce à mon père. Il a été pilote pendant très longtemps. Lorsque j'avais 6 ans, mon père nous a construit un tout petit side-car, avec lequel j'ai roulé toute mon enfance en compagnie de mon frère (Marcel Willemsen). Je pense que nous avons fait partie des premiers à en avoir un aussi petit! Aujourd'hui je remercie mon père de m'avoir fait découvrir ce sport et suis moi-même pilote depuis 24 ans. S : Mon père était pilote, j'ai commencé dans son panier. J'ai également essayé de piloter moi-même, mais c'était plus pour le plaisir que par réelle passion. Je suis aujourd'hui passager depuis 4 ans et j'adore ça !
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A quel âge avez-vous commencé la compétition ? W : Officiellement le règlement Hollandais stipule que seuls les jeunes âgés de 16 ans ou plus peuvent participer à une course. Mais dans notre cas, grâce à une dérogation accordée suite à une inspection de notre niveau, lorsque nous avons débuté j'avais 13 ans et Marcel 11. J'ai participé à mon premier Grand Prix à 18 ans. S : J'ai participé à ma première course à 18 ans.
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Daniel, le fait d'avoir commencé à rouler avec ton frère t'as t'il beaucoup aidé ? W : Oui ! C'est certain ! Avec Marcel il était très facile de se comprendre. Nous avons donc eu la chance de beaucoup apprendre en peu de temps. Nous avons beaucoup progressés ensemble. Je recommande fortement (lorsque c'est possible) à tous les débutants de commencer avec quelqu'un de leur famille ! C'est vraiment très appréciable.
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Que pensez vous du side-car en France ? W : Après la Hollande, c'est la France que je préfère ! Le public y est vraiment enthousiaste. Les teams français semblent vraiment passionnés et impliqués. S : Concernant les teams français non seulement ils sont motivés et ont du bon matériel. J'ai aussi dès le début été surpris du nombre de teams qui se déplacent lors des courses en France ! On a vraiment l'impression que les équipages sont à fond dedans ! Ils adorent ça, ils sont très très motivés. En Hollande et dans les autres pays, les équipages se déplacent moins pour participer aux courses… Ils sont passionnés certes, mais pas de la même façon. On les retrouve souvent sur les mêmes terrains, et rarement loin de chez eux. Ils se contentent la plus part du temps de rouler à leur rythme, sans chercher à aller ailleurs pour progresser… Le Français eux se déplacent très souvent, malgré les kilomètres ils sont toujours au rendez-vous ! Je trouve ça épatant ! J'ai aussi remarqué que les passagers français ont presque tous les mêmes gants ! Oui, ce sont des gants que l'on trouve dans les jardineries en France, ils sont en tissus, mais disposent d'un quadrillage de caoutchouc pour améliorer l'accroche… S : Oui j'ai eu l'occasion d'en observer une paire de près. C'est typiquement français, même si certains étrangers les ont aussi adoptés… Ces gants orange sont vraiment très surprenants ! De plus, je suis toujours aussi agréablement surpris de constater que le public est toujours très nombreux sur les terrains français! Non seulement il y vient plus de monde que dans les autres pays, mais en plus on n'y rencontre presque jamais les même gens. J'ai toujours l'impression que le public y est totalement différent, c'est vraiment étonnant !
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Et que pensez-vous des terrains français ? W : Ils ne sont pas très larges, et ressemblent beaucoup plus à des terrains de super cross qu'ailleurs. Ils sont spectaculaires et je prends toujours énormément de plaisir à rouler dessus. Ce sont toujours très techniques qui sautent beaucoup, c'est sans doute le côté spectaculaire qui attire les nombreux spectateurs français qui arrivent toujours en masse. S : La France dispose de très bons terrains, ils sont non seulement très beau mais également très dynamiques (beaucoup de sauts). Il est toujours très agréable de courir en France. Parmis mes préférés : Baugé et Brou.
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Aimeriez-vous participer au Championnat de France de Supersider ? W : Oui, d'ailleurs nous nous sommes déjà renseigné à ce sujet auprès de David Barat… Malheureusement, et contre toute attente, un bon nombre de courses programmées sont annulées. C'est vraiment très très dommage… Dès que les calendriers seront en accords, nous viendront rouler en France en Supersider ! S : Oui, à condition que ce soit possible… C'est vraiment quelque chose qui m'attire énormément ! Je serai très heureux de faire d'en faire !
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Prévoyez-vous de rouler de nouveau en France l'an prochain et à quelle(s) occasion(s) ? W : Ma première priorité restera les Championnat du Monde et le Championnat Hollandais. Cependant, dès que le calendrier nous le permettra (week-ends restants) nous reviendrons rouler en France. Il n'est pas prévu que nous roulions en Championnat de France (Side-car cross), en effet l'inscription nous en parait trop lourde. Mais pour toutes les autres courses (zones européenes) nous avons l'intention de revenir. S : Dès que ce sera possible, nous reviendrons courir en France, pour ma part avec grand plaisir !
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Que pensez-vous de l'organisation de courses dans des pays ou le side-car cross est peu connu et ou les teams nationaux sont très peu présents ? W : Pour ma part quelque soit les pays dans lesquels les grands prix sont organisés cela ne m'empêchera pas d'y aller. Je préfère encore faire un long voyage plutôt que de courir toujours sur les mêmes terrains. S : Je préfère avant tout rencontrer de nouveaux teams, il est dommage de voir toujours les mêmes têtes sur les grands prix.
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Daniel, Sergis t'inquiète t'il encore cette saison ? W : Cette année non, il a déjà accumulé trop de points de retard. L'an prochain nous verrons bien… Je ne fais jamais de pronostiques, le meilleur doit gagner.
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Hormis le side-car cross, que faites-vous ou aimez-vous faire le reste du temps ? W : Je travail en temps que commercial chez Reiger. Autrement, j'apprécie beaucoup conduire en solo (moto-cross) et me balader dans les rues à vélo ! S : J'aime skier et faire du solo. Occasionnellement je fais du karting. J'apprécie les sports mécaniques en général.
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